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L'histoire du Kommando: des actes de résistance

LA RESISTANCE VUE AUTREMENT.

Avant son engagement à l’Ecole de la Garde, Elie Kloeckner a vécu une autre expérience dans la Résistance. Il l’a racontée quelques temps avant son décès dans un document enregistré par Annie, sa fille, qui m’en avait confié  « le transcrit ».Vous allez voir que c’est vraiment tout autre chose que les images d’Epinal habituelles. A l’époque il était dans un maquis auvergnat. Il raconte :

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Pierre Bur témoigne au nom de ses compagnons

Ce que je me propose de vous raconter ici n’est pas une fiction, mais bien des événements vécus.

Voici deux textes dont je vais m’efforcer de faire la synthèse sans trahir ni leur esprit, ni leur fond, et ce ne sera pas facile compte tenu de leur densité qui font que chaque mot compte. Si vous les lisez, c’est qu’ils auront reçu « l’imprimatur » de la famille de François.

 

Premier texte: Le Puy-Crapaud

 

MISSION RAMIER :

Nous sommes le 13 août 1943. Pour Axel, (François Michaut en résistance) les missions RAMIER sont réputées difficiles. Il ne l’ignore pas lorsqu’il se rend à un rendez-vous au Pam-Pam, bistrot à la mode de l’époque, sis rue Auber à Paris. Il y pénètre après avoir scruté les alentours et s’être assuré qu’aucune traction avant ne traîne dans le coin, pas plus que des personnages en chapeaux mous, signes distinctifs de la gestapo.

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Deuxième texte: "Attendez que le sang ait séché… Charles De Gaulle":

 

l'arrestation de François Michaut.

 

EN GUISE DE PREAMBULE

Décevante mission: Février 1944

François Michaut agent du B.C.R.A (Bureau Central Renseignements Action) Immatriculé à Londres R.K.8, pseudo Axel, sous le contrôle du Réseau « Cahors Asturies », est affecté depuis quelques mois au S.N.M (Service National Maquis), en raison du démantèlement du réseau suite à l’arrestation de son chef et fondateur Jean Cavaillès, philosophe, fusillé en 1943.

 

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Le courrier Picard: Pour eux, c’était le dernier train à Compiègne

 

Parmi les 1250 Picards déportés, douze douze policiers compiègnois : l’un deux, Jacques Vigny se souvient.

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